Un recueil de nouvelles


Je sens que j’ai un livre en moi. Il doit juste sortir.

D’un côté, il y a des lecteurs. De l’autre des écrivains. Les premiers lisent et parlent de ce qu’ils ont lu. Les seconds écrivent, apprécient d’être lus et qu’on parle — de préférence, en bien — de ce qu’ils ont écrit.
L’Ivresse de l’écrit vaincu met ce petit monde en scène dans une satire où les enjeux familiaux, amicaux et sociaux servent de déclencheurs pour illustrer le grand théâtre des relations humaines.

Parfois drôle, souvent piquant, un peu méchant, ce recueil de nouvelles brosse le portrait d’un monde où le livre se révèle plus un prétexte qu’une fin en soi.


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